Un policier qui voit un homme ivre chercher quelque chose sous un lampadaire lui demande ce qu’il a perdu. L’ivrogne répond qu'il a perdu ses clés, et le policier entreprend de l’aider. Après quelques minutes, le policier lui demande s'il est sûr de les avoir perdues ici, et l'autre répond qu’en fait, il les a perdues dans le parc. Le policier lui demande pourquoi il cherche ici, à quoi l'ivrogne répond : « c'est ici qu'il y a de la lumière ».
L’anecdote de l’ivrogne et du réverbère, aussi appelée théorème du lampadaire, démontre notre propension à ne chercher les choses que là où elles sont faciles à trouver.
Souvent, lorsque nous demandons aux dirigeants et aux organisations avec lesquels nous travaillons ce qui les empêche d’atteindre leurs objectifs, ils énumèrent une litanie d’obstacles.
Si seulement :
- mon personnel/mes collègues/partenaires/donateurs comprenaient
- ils comprenaient
- nous avions le temps
- nous avions les bonnes personnes
- nous avions l’appui du conseil d’administration
- la concurrence ne faisait pas du gâchage de prix dans le secteur
- j’étais plus conscient de la façon dont je me présentais, et de l’impact négatif que j’avais sur l’équipe
- nous pouvions prioriser les bonnes choses
- nous nous concentrions sur le processus plutôt que sur le résultat
- nous avions les conversations cruciales avec les bonnes personnes
- la direction avait le courage de licencier des personnes toxiques au rendement solide
- nous adoptions une mentalité de croissance en tant qu’organisation